Sophie Junker

« Au charme irrésistible », selon le magazine  Opera ,   Sophie Junker se produit régulièrement avec de grands chefs d’orchestre tels que Harry Bicket, Laurence Cummings, Christian Curnyn, Masaaki Suzuki ou encore Stefano Montanari.

Le soprano souple et étincelant de Sophie a pu être entendu en Angelica dans  Orlando Furioso de Vivaldi (La Seine Musicale), en Clori dans  Egisto  de Cavalli (Opéra Royal de Versailles) et en Asteria dans  Tamerlano  de Haendel avec l'Orchestre de Chambre de Moscou. Elle jouit d’une solide relation avec l’Opéra Royal de Wallonie et Angers-Nantes Opéra et a fait ses débuts aux États-Unis en 2016 ainsi qu’à la Staatsoper Berlin en interprétant Drusilla dans  L'Incoronazione di Poppea  sous la direction de Diego Fasolis.

En 2022, elle a fait ses débuts en tant que Cleopatra dans  Giulio Cesare  sous la direction de George Petrou (Reisopera, Händel-Festspiele Göttingen) et en tant qu'Atilia dans  Eliogabalo  de Cavalli, mis en scène par Calixto Bieito (Opéra de Zurich). Elle a également chanté le rôle-titre dans  Theodora  de Haendel dirigé par Leonardo García Alarcón (Namur, Beaune).

Au cours de la saison 2023/24, on la retrouvera sur scène dans le rôle d'Emira dans  Siroe, re di Persia   de Haendel dans le cadre du Händel-Festspiele Karlsruh, et elle rejoindra également une production de la  Passion selon Saint Jean  de Bach mise en scène et chorégraphiée par Sasha Waltz et dirigée par Leonardo García Alarcón (Festival de Pâques de Salzbourg, Opéra de Dijon).

Parmi sa discographie, relevons son premier CD solo,  La Francesina, chez le label Aparté, récompensée d’un  International Classical Music Award  et du  Trophée Forum-Opéra .

Crédit photo : Jean-Baptiste Millot

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